Voitures : une revue des faits marquants de 2019
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2019 arrive à sa fin. Une rétrospective de l’année nous permet de nous rappeler quelques faits et de revoir les modèles phares de l’année. La donne a changé dans la demande, et l’offre a dû évoluer et se diversifier pour attirer les défenseurs de l’environnement. La grande affaire de l’année, celle de Carlos Ghosn n’est pas encore terminée. Mais cela n’empêche pas le duo Renault-Nissan d’avoir des places dans le top ten de leur catégorie. Question électrique, il semble que c’est l’avenir du marché, même si pour l’instant, il est plutôt question de ne pas afficher du retard par rapport aux autres. Mais les vraies stars de l’année sont sans doute les SUV. Dans les paragraphes suivants, nous allons décortiquer cela d’un peu plus près.

L’affaire qui a fait beaucoup de remous dans la presse

Une affaire qui a un peu plus d’un an

C’est un feuilleton qui commence au mois de novembre 2018, le 19 pour être plus précis. La justice japonaise le cueille à l’aéroport de Tokyo et celui-ci passe 121 jours derrière les barreaux. Il est ensuite transféré en résidence surveillée dans sa villa.

Une affaire qui va continuer en 2020

Il a fallu du temps pour qu’il soit autorisé à parler à sa femme en face à face. Mais cela a fini par se faire. Du côté de la France, c’est le syndrome de vnd_dec_19_d6Ponce Pilate. On a noté une visite de Nicolas Sarkozy, mais ce n’est pas ce que l’on peut considérer comme un véritable soutien venant de l’Hexagone. Quoi qu’il en soit le procès est annoncé dans le premier trimestre 2020 et un jugement prévu pour la fin de l’année, « si tout se passe bien ».

Les accusations et la défense

On annonce notamment quatre chefs d’accusation contre l’ancien homme fort de Renault-Nissan. Lui et son armée d’avocats internationaux (japonais, français et américain) nient tout en bloc. Ce sont des dépenses faramineuses à des fins personnelles ou des rémunérations trop importantes, entre autres.

L’impact sur le groupe Renault-Nissan

Le plus grand impact remarqué, ce sont tous ces remous causés au sein de la direction. Tous les concernés, de près ou de loin, ont été évincés de leur place. Même celui qui a lancé l’alerte. Pour la production, elle continue son petit bonhomme de chemin, avec des modèles qui font quand même tourner quelques têtes, comme nous le verrons dans les paragraphes suivants.

2019 : l’année des véhicules électriques

La volonté de diminuer l’empreinte carbone

La voiture électrique est maintenant bien ancrée dans notre quotidien. Les marques veulent paraître soucieuses de l’environnement. On voit doncvnd_dec_19_d5 en 2019 plein de voitures de toutes marques qui n’ont plus besoin de faire le plein à la station d’essence classique.

Une compétition technologique entre les marques

Les batteries sont les points faibles de la voiture électrique. Les plus grandes avancées résident donc dans l’amélioration de cette partie essentielle. C’est-à-dire le temps de charge, ainsi que l’autonomie. Si possible, le poids également, et enfin la puissance.

Un marché en pleine évolution

Même s’il reste encore bien des choses à améliorer sur la E Car (pour Electric) afin de la rendre plus mondialement connue et utilisée, il faut admirer le sens commercial développé par chaque marque. Les modèles ont déjà la forme épurée d’une voiture du futur et le style de conduite est assez agréable.

Les meilleures voitures électriques de 2019

Il semblerait que le design idéal pour une voiture « e » est le SUV. La taille et le poids sont favorables au Crossover. Mais La Porsche Taycan n’est pas passé inaperçue. En plus, avec son design de bolide de course qui ressemble fortement à un concept car des années 2000, elle coûte largement moins qu’une Bentley de sa même trempe. Mais c’est tout de même trois fois plus que la Tesla de cette année.

2019 : la montée en puissance des suv

Un marché en plein essor

Nous avons évoqué la compatibilité du design SUV avec l’électrique. Mais même avec un moteur classique, le Crossover est aujourd’hui la voiture la vnd_dec_19_d2plus en vogue pour ceux qui peuvent se l’offrir. Puissance, espace intérieur, confort de conduite … tous les ingrédients sont présents pour en faire un une voiture qui est idéale pour la famille.

Ceux qui ont surpris par leur design

Un SUV mythique a surpris les fans pour cette année : la Suzuki Jimny. Elle fête ses 21 ans et pourtant elle a été rajeunie pour correspondre à la nouvelle demande. Elle aurait presque pu faire de l’ombre à une certaine Land Rover (Defender), même si leur gamme de prix est totalement opposée.

Les Français dans le top ten

Si pour les années précédentes la 3008 et la 5008 sont des représentantes de l’Hexagone, aujourd’hui le fanion est porté par Renault Nissan. Avec la Captur et avec la Juke, les associés réussissent à placer deux véhicules dans le top ten de la gamme SUV. La C3 Aircross de Citroën fait également partie des nommés.

Arrivée en trombe des SUV de l’Est

La marque Mazda avec son CX-30, ainsi que Honda avec le CR-V Hybrid ont déjà conquis l’Europe avec aisance. Mais on voit aussi arriver sur le marché une certaine concurrence venant de l’Est européen. Ainsi Skoda Kamiq profite d’une visibilité accrue de sa marque lors du Tour de France de cyclisme pour grignoter quelques parts de marché.

Les citadines et les familiales qui ont marqué 2019

Les Allemandes presque au-dessus de tout

Cette supériorité germanique n’est pas une légende dans le monde de l’automobile. C’est un fait, prouvé sur le papier et approuvé par les conducteurs. vnd_dec_19_d3La bonne santé du marché allemand se montre par une pluralité de modèle dans toutes les gammes. Du côté des familiales les différentes séries de BMW et les classes de Mercedes affluent tellement que l’on ne sait plus où donner de la tête.

Le compromis français dans ces catégories

Les voitures françaises se sont illustrées brillamment avec la Clio et la 208. La première s’affirmait déjà comme meilleure vente dans l’hexagone, tandis que la seconde a lourdement séduit par son aspect compact. Leur avantage réside également dans le prix qui reste raisonnable, par rapport à des noms comme Polo ou Fiesta, de chez respectivement Volkswagen et Ford. Pour les familiales, c’est la 508 qui étonne un peu par la modernité de son intérieur. Ce qui améliore un peu notre réputation trop simpliste dans l’aménagement interne des voitures.

Les Asiatiques et les autres

La Toyota Camry ou la dernière Corolla, la Skoda Octavia, ou la Scala … si les Allemandes et les Françaises restent quand même devant, on sent que les autres marques suivent derrière et guettent le moindre faux pas pour passer devant.

Rêvons un peu avec les sportives de 2019

Une Anglaise qui a fait du chemin

Aston Martin annonce le début des ventes en 2020, mais on l’a déjà dévoilée cette année : la DBX. Dotée d’un moteur V8 turbo, elle sera assemblée vnd_dec_19_d4dans le pays de Galles. C’est presque deux cent mille euros, mais c’est relativement abordable si on regarde la Mercedes AMG Project one qui est annoncée à dix fois plus.

L’incontournable Porsche 911

Les rumeurs annoncent une version hybride puis d’une électrique de la 911 dans quelques années. Mais pour l’instant, elle est renouvelée, fidèle à ses origines et bien campée sur ses pattes.

Ferrari fait honneur à sa légende

La F8 Tributo est une voiture de rêve. Pour presque 250 mille euros, vous avez la beauté la puissance et la rapidité. Directement inspiré du monde de la F1, c’est un bolide qui est fait pour être admiré, sur la route ou simplement dans un garage.

Un excellent Crossover : le Kia Xceed
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Aujourd’hui, un Crossover est souvent un dérivé d’une excellente citadine plus compacte qui a fait ses preuves. Par exemple, le 208 a donnéVND.fr_dec 2019_2_Kia Xceed_1 le 2008 et la Clio a été transformée en Captur, du côté français. En ce qui concerne le SUV coréen Kia Xceed, la racine semble logique : la Ceed. Et pourtant, même si on a la même plateforme et quelques éléments communs, ce serait une erreur de se cantonner sur ces quelques ressemblances pour essayer de cerner les propriétés de la voiture.

Un crossover dans son temps

En effet, avec ce Crossover, on n’a pas du tout cette impression de déjà-vu. Il y a bien sûr un certain héritage, assez simpliste,  qui a été copié sur celle que nous avons découvert l’année dernière durant  le salon de Genève en mars, la Ceed. Mais avec le X en plus dans le nom, le SUV n’est pas seulement un haussement de 4 centimètres. Des différences notables se trouvent dans les vitres de portières, qui ont reçu un lifting épuré qui modernise l’allure générale. Quand on rajoute à cela une poupe légèrement moins pentue, la Kia Xceed assure un remaniement très radical de l’esthétique.

Kia toujours aussi surprenant

Bien que la marque coréenne a déjà entamé la transition électrique depuis quelque temps, notamment avec la Soul et la Niro qui ont déjà leur version totalement électrifiée, ce nouveau SUV n’est pas encore prêt à abandonner le diesel. On présente en effet deux modèles de 115 et de 136 chevaux qui fonctionnent avec du gasoil comme carburant. Certes, il y a moins de puissance que les 204 chevaux fournis par le 4 cylindres 1.6 essence. Mais c’est largement suffisant pour permettre à la Kia Xceed pour se hisser à la même marche que ses concurrents directs.

Une voiture où rien n’a été laissé au hasard

VND.fr_dec 2019_2_Kia Xceed_2Un Crossover de 2019 doit suivre un cahier des charges très strict en ce qui concerne l’équipement technologique. Le SUV n’est pas un véhicule à vocation sportive qui minimalise l’aménagement intérieur et les accessoires, dans le but de gagner du poids. C’est une voiture qui est faite pour offrir du confort, autant pour les passagers que pour le conducteur. Mais cela ne veut pas dire qu’il faut sacrifier l’agilité et la tenue de route pour le bienêtre de la famille. Le Kia Xceed a réussi à donner un bon compromis en rajoutant des suspensions hydrauliques sur un châssis de très haute qualité.

On annonce une motorisation hybride pour bientôt pour ce Crossover. Pour le moment, on est content de toute la panoplie digitalisée à l’intérieur. On comprend parfaitement l’importance de la sécurité chez les Coréens. De ce fait, le SUV intègre parfaitement l’ergonomie dans l’agencement de tous les équipements, visuels ou mécaniques. La Kia Xceed ne met pas d’excédent dans son zèle pour la modernité, elle se contente de l’excellence.

Le SUV surprise de 2019 : la Skoda Kamiq
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Le SUV est devenu la familiale par excellence. Spacieux, le cockpit accueille du monde aisément, et la proue est assez imposante pour y placer des centaines de litres de bagages. La Skoda Kamiq crée la surprise, dans la mesure où la stratégie marketing de la marque n’a pas suivi l’approche classique des marques comme Peugeot et Renault. C’est-à-dire, de sortir en grande pompe une citadine pure plus compacte comme éclaireur, avant de lancer le SUV dérivé.

Une concurrence rude

Maintenant, on annonce tout de go que la production est lancée. Le fabricant tchèque a tout simplement sauté les préliminaires. Pour la marque au lion, ça sautait aux yeux avec l’arrivée de la 208 pour préparer la sortie de la 2008. De même pour la firme au losange qui sort la Clio V avant de dévoiler la Captur. Et pourtant, c’est comme si la Skoda Kamiq débarquait de nulle part. Les apparitions médiatiques des voitures emblématiques de la marque ont créé une légère diversion qui a eu pour effet de magnifier l’effet de surprise.

Une touche de modernité pour séduire

Effectivement, on s’est concentré sur la Superb troisième génération de couleur rouge qui avait le droit exclusif de franchir la ligne d’arrivée VND.fr_dec 2019_1_Skoda Kamiq_1lors du Tour de France. Ou encore la Skoda Octavia qui s’est remarquée dans la caravane officielle de cette même compétition, perchée sur une voiture conçue spécialement pour l’occasion. Mais la Skoda Kamiq n’a de commun que la marque avec ces deux berlines puissamment motorisées. En fait, le Crossover urbain propose des caractéristiques strictement citadines qui n’avaient rien avoir avec le paysage campagnard de cette course prestigieuse.

Un coup de théâtre inattendu

Évidemment, on s’attendait à un grand coup cette année. Surtout après que la Kodiaq RS s’est amusée sur le célèbre circuit allemand de Nürburging en plein milieu de la saison 2018, ou quand la Scala a été présentée au public quelques mois plus tard. Et pourtant, les spécialistes ont du mal à croire que le lancement de la production de la Skoda Kamiq est juste un changement de stratégie de dernière minute. La préparation d’une telle réussite esthétique ne s’est pas faite à la va-vite.

Une voiture unique en son genre

VND.fr_dec 2019_1_Skoda Kamiq_2Certes, les traits classiques de la marque sont très remarquables sur la calandre et le postérieur de la voiture. Mais ça s’arrête là. Sous le capot, c’est une tout autre histoire. Car la motorisation lui procure une identité plus économique et gentiment adaptée pour une conduite avec les membres de votre famille. On culmine ainsi à 150 chevaux dans la puissance, et la boîte manuelle n’offre que 5 rapports, ce qui est idéal pour des accélérations sages et responsables.

Pourtant, Skoda Kamiq possède ce qu’il faut pour satisfaire le besoin de modernité dans un SUV. Le cockpit offre un système de navigation en trois dimensions entièrement digitalisé. On y retrouve donc une parfaite symétrie entre la sécurité et le confort de conduite, notamment avec les assistances à la conduite et les capteurs qui permettent la régulation de la vitesse et le freinage d’urgence.

Tout ce qui change sur la nouvelle Opel Astra 2019
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De visu, il semblerait que les changements soient imperceptibles sur la nouvelle Opel Astra 2019. On aurait pu s’attendre à une vraie révolution dans le look, vu que la firme a changé de main. Cependant, si l’esthétique ne laisse rien paraître du passage de Général Motors à PSA, on peut dire que l’évolution est presque radicale sous le capot et à l’intérieur du cockpit. Alors qu’est-ce que cette nouvelle génératioVND.fr_nov 2019_2_Opel Astra 2019_1n possède comme atout ? C’est ce que nous allons vous faire découvrir dans les prochains paragraphes.

Motorisation de la nouvelle Opel Astra 2019

La nouvelle Opel Astra 2019 a toujours été une compacte qui n’a pas à rougir face à ses concurrentes directes, en termes de performances. En guise de motorisation, ce nouvel opus peut culminer avec une puissance de 145 chevaux, fourni par un moteur essence de 1.4. Bien entendu, la proposition en diesel n’est pas en reste, avec une puissance maximale de 122 chevaux pour un 1.5. En entrée de gamme, on bénéficie tout de même de 110 CV pour l’essence et de 105 pour le diesel.

Une nouvelle Opel Astra 2019 qui garde ses racines américaines

Cette puissance palpable sous le capot n’est en fait qu’un héritage des anciens propriétaires américains. Les acquéreurs de l’Hexagone n’avaient que peu ou pas de temps pour remanier toute la voiture. Ainsi, la nouvelle Opel Astra 2019 garde ses racines d’outre-Atlantique, non seulement dans la motorisation, mais aussi sur la plateforme utilisée. D’ailleurs, cela se voit également à l’esthétique, puisque l’arrière et les côtés n’ont pas vraiment évolué, si on parle du design. Le seul changement visuel perceptible par l’observateur non averti se trouve surtout sur la calandre.

L’intérieur de la nouvelle Opel Astra : le vrai changement sur la voiture

La bagarre technologique à l’intérieur fait rage en ce moment chez les constructeurs. Ce n’est pas pour déplaire à la nouvelle Opel Astra 2019, VND.fr_nov 2019_2_Opel Astra 2019_2puisque celle-ci s’accompagne de tout l’attirail numérique indispensable pour la navigation moderne. Système multimédia, affichage kilométrique ou encore contrôle de la clim, tout a été pensé pour un confort optimal et une utilisation simplifiée.

La nouvelle Opel Astra 2019 en résumé

En regardant les blocs moteurs disponibles sur la nouvelle Opel Astra 2019, on se rend compte que l’on mise sur un peu plus de puissance que la moyenne. En effet, c’est le genre de motorisation qui peut parfaitement entrer dans un SUV moderne conçu pour le monde urbain. Mais des efforts ont été apportés en termes d’émission de CO2, vu que le marché ciblé est plus européen que jamais. Le lifting technologique à l’intérieur ne laisse pas insensibles les amoureux du numérique, grâce à une présentation hautement ergonomique et bien pensée.

La nouvelle Renault Captur sous les feux des projecteurs
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La nouvelle Renault Captur est dérivée d’une grande citadine qui est un bestseller de la marque au losange. Son contenu technologique vaut bien le détour et elle respecte à la lettre le cahier des charges d’un vrai SUV moderne. Cela donne un intérieur particulièrement spacieux monté sur une plateforme avec un moteur à la fois performant et économique. Évidemment, nous allons vous décortiquer tout cela dans les prochains paragraphes.

La dérivée d’une citadine hors pair

C’est devenu comme une tradition chez les constructeurs français. Une citadine qui rencontre du succès doit avoir une dérivée en version SUV. VND.fr_nov 2019_1_New Renault Captur_1Ainsi, pour la marque au lion, la 2008 est une extension de la 208. En ce qui concerne la marque au losange, sur la nouvelle Renault Captur, on se rend compte tout de suite qu’on se trouve dans la lignée de la Clio V. Un pédigrée bien avantageux si on considère que c’est la voiture la plus vendue dans l’hexagone.

Comme sur la citadine, les phares avant en forme de C, entièrement composé de LED, assurent cette proue très avant-gardiste très bien travaillée.

Les caractéristiques d’un SUV moderne

La preuve qu’un SUV est moderne, c’est qu’il y a une version hybride rechargeable. À première vue, ce n’est pas très logique, mais il faut savoir que ce ne sont pas toutes les voitures qui peuvent passer à la transition électrique facilement.

La nouvelle Renault Captur possède les caractéristiques d’une voiture tout à fait moderne, dans l’assistance à la sécurité. Le freinage d’urgence en cas de piéton ou de cycliste, la régulation de la vitesse …

L’intérieur d’une nouvelle Renault Captur

VND.fr_nov 2019_1_New Renault Captur_2La longueur à l’extérieur est de 423 centimètres. Ce qui donne assez d’espace pour faire un intérieur tout à fait convenable pour 5 personnes. Plus si on a des enfants. C’est un petit gain par rapport à l’ancienne version qui mesurait seulement 412 centimètres, mais le coffre a pourtant bien augmenté de 81 décimètres cubes. Ainsi, la capacité maximale de la malle culmine à 536 litres, quand on rabat les sièges arrière.

En ce qui concerne le cockpit, on regrette un peu que l’écran digital s’arrête seulement à 9.3 pouces, alors que sur des modèles plus compacts on en est à 10. Et pourtant, le compteur du tableau de bord, digital comme la nouvelle norme, atteint le record de 10.2 pouces.

La nouvelle Renault Capture en résumé

Le contenu technologique de la nouvelle Renault Captur le qualifie de SUV totalement moderne. Il s’agit d’offrir l’habitabilité, tout en appuyant sur la modernité avec les équipements devenus indissociables à la voiture familiale moderne. Freinage d’urgence, détection des piétons …

Un regard sous le capot de la nouvelle Peugeot 2008
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On a senti depuis un moment chez la marque au lion que le moment est venu de rehausser la gamme de ses propositions. Si les Allemandes s’imposent dans les berlines, suivi de la marque au losange pour les citadines, autant se faire remarquer dans les SUV. Le 4008 a bien cartonné à sa sortie en raflant le titre prestigieux de voiture de l’année. La nouvelle Peugeot 2008 semble vouloir suivre le pas, en bousculant les préjugés et en ne rechignant pas sur la modernité.

Rouler à bord de la nouvelle Peugeot 2008

On peut dire que le Peugeot 2008 est ce qu’on appelle un SUV avec la sauce moderne. Tout est présent en ce qui concerne les différentes assistances à la conduite. De la détection de piéton et de cycliste qui active le freinage d’urgence, au système de motricité renforcée que l’on nomme Grip Control. Rouler devient un plaisir, dans une voiture qui fait quatre mètres et trente centimètres de long, avec un espace intérieur bien arrangé.

Un mixage entre la 208 et la 3008

Pour les formes, on est obligé de penser à une plus grande version de la citadine avec un zéro de moins dans le nom. En effet, on remarque immédiatement le capot cubique avec des bords arrondis et aérodynamiques de la 208. Quelques traits similaires sur les feux avant également. Par contre, sur les ailes, et l’arrière, on est bien dans la parenté avec la 3008.

L’intérieur soigné et épuré de la nouvelle Peugeot 2008

Le cockpit est savamment soigné. La marque au lion a bien compris qu’il ne suffisait pas d’offrir des conditions de conduites agréables. Dans le Peugeot 2008, on a tout l’équipement d’une voiture moderne dans la version en entrée de gamme. Compteur électronique, dalle numérique pour le contrôle de la clim et écran multimédia qui peut atteindre 10 pouces dans la gamme la plus élevée.

Les différentes motorisations de la nouvelle Peugeot 2008

La motorisation de la Peugeot 2008 a été faite pour offrir à la fois de la puissance et une utilisation économique. On choisit entre la boite manuelle à 6 vitesses et la boite auto à 8 vitesses. Que ce soit en 130 ou à 155 chevaux on utilise le moteur PureTech 1.2 qui a déjà fait ses preuves sur d’autresvnd_oct 2019_Peugeot 2008_2 plateformes. En diesel, nous avons le BlueHDi.

Conclusion

Le Peugeot 2008 est un véhicule que l’on peut classer dans la gamme des Crossovers urbains. Un véritable SUV, situé haut sur ses pattes et doté d’une motorisation adéquate pour ses dimensions. L’habitacle offre tout l’espace nécessaire pour la famille semi-nombreuse. Un moteur puissant et un aménagement intérieur correct, une formule qui risque d’en séduire plus d’un. Les équipements technologiques assistent merveilleusement à la conduite et au contrôle de la voiture.

La Golf 8 est arrivée
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Voiture du peuple dit on de Volkswagen. Tout semble confirmer ce dire car la marque n’a de cesse de chercher des moyens pour améliorer les voitures qu’elle propose à la vente pour les utilisateurs d’automobiles sur le marché. Et voilà, nous y sommes !

Genèse de la gamme Golf de Volkswagen

C’est une histoire d’amour vielle de 45 ans qui a lieu entre la firme de Wolfsburg et les automobilistes du monde entier. Quand il a fallu trouver un successeur digne de ce nom à la mythique Volks Coccinelle, la Golf a été désignée pour relever cette lourde charge. L’histoire nous confirme qu’elle a plutôt bien réussi. Car depuis, c’est dans plus de 108 pays que la Golf s’est vendue, avec (s’il vous plaît) près de 36 millions de voitures écoulées sur les 7 opus de la série. Oui, nous en conviendrons toutes et tous que ce n’est pas mal du tout.

Ancrage solide en Europe

Pour le cas du vieux continent seul, c’est le grand champion absolu. Toutes catégories confondues. La Golf a toujours été « the number one » des vnd.fr_Golf 8(1)ventes chaque année. A titre d’illustration, rien qu’en France seule, la Golf 7, les modèles berlines et en break se sont vendues à plus de 192000 d’automobilistes. Il ne faut pas minimiser le fait que le marché Européen constitue l’un des marchés les plus importants avec notamment, le marché Nord Américain avec les Etats Unis et Le Canada où les Golfs se vendent comme des petits pains aussi.

Se conformer aux exigences du marché

La grande nouveauté qui sera constatée avec les nouvelles Golf 8 est que les modèles en 3 portes cesseront à jamais d’exister. Les concepteurs de chez Volkswagen ont décidé d’emboiter le pas à ses principaux concurrents, et ont décidé de ne plus produire que des modèles en 5 portes. Citons entre autre le cas de la Peugeot 308, Renault Mégane, Ford Focus. Pour pallier à cela par contre, le MQB, déjà assez remarquable chez les Golf 7 sera développée encore plus en profondeur chez la nouvelle Golf 8.

Changer mais ne pas révolutionner

Les changements au niveau des contours des lignes ne verront pas de révolutions majeures. Cela s’effectuera en douceur. Propos confirmé d’ailleurs par le  chef du design chez Volkswagen, Klaus Bischoff. Selon lui, … des pas supplémentaires vont être apportés, sans toutefois tout révolutionner… La culture Golf sera donc jalousement conservée. L’automobiliste devra reconnaître rapidement et facilement qu’il s’agit bien d’une Golf une fois face à la voiture.

Motorisation de la golf 8

Une alternative 100% écolo n’est pas encore en vue avec la Golf 8. Il n’y aura donc pas d’e-golf 8. C’est une décision pas du tout surprenante à vrai vnd.fr_Golf 8(2)dire. Cette variante est laissée à la nouvelle gamme Volkswagen ID.

La Golf 8 sera proposée avec des motorisations essence et diesel. Il semblerait que les grosses motorisations en 2.0 litres seront laissées à l’abandon. Les différents moteurs qui vont équiper les Golfs 8 sont : 1.0 TSI de 116 ch et du 1.5 TSI de 130 et 150 ch pour les moteurs essence ; et le 1.5 TDI (en remplacement de la 1.6) (plus peut être le 2.0 TDI, qui semble t-il ne sera plus développé) pour les diesel.

Pour les amateurs de GTI, ils devront patienter un peu car ces modèles devront arriver fin 2020 avec la version R

Cockpit de la Golf 8 :

La Golf 8 est équipée de fonctions de conduite très élargies. La voiture est donc dotée de ce fait de plusieurs logiciels. Le cockpit se veut être très élaboré pour une meilleure expérience de conduite. Comme avec les nouvelles Mercedes Classe A, l’intérieur est équipé de deux écrans numériques. Mais pas que cela, si une partie de la forme de la carrosserie ressemblerait un peu à celui de sa cousine T-Roc, le Cockpit par contre est fortement  ressemblant à celui de son cousin, le  Touareg. Une histoire de famille donc en quelque sorte.

Les nouvelles têtes de Nissan
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Le feuilleton médiatique continue à faire des remous dans la presse automobile et économique. L’histoire a commencé fin 2018, avec des révélations tumultueuses sur le dirigeant de l’époque, Carlos Ghosn, ainsi que de son bras droit, qui sont accusés de malversations financières. En attendant le procès pour 2020, quelques rebondissements surviennent concernant la direction.

Les actualités de Nissan et sa santé interne

La présence commerciale sur le marché

Qu’on se rassure, ce n’est pas encore le déclin d’une marque qui a imprégné l’histoire de l’automobile avec des modèles compétitifs. D’ailleurs, on voit déjà pointer sur le marché cette nouvelle voiture avec une seule pédale.

La situation au sein de l’entreprise

Mais il fallait s’y attendre, la pression interne voulait faire un petit nettoyage pour faire oublier l’année qui vient de passer. Car il semble qu’il y a encore un peu d’eau dans le vin. Il a donc fallu apporter un sang nouveau, tout en puisant dans les racines de la marque.

Un soulagement pour l’alliance Renault-Nissan

Encore un dirigeant gourmand qui dégage

Actuellement, l’ancien numéro un nie encore tout en bloc et prépare sa défense pour son procès qui devrait avoir lieu en fin de premier trimestre 2020. Par contre, celui qui a pris sa place, Hiroto Saikawa, a déjà fait des excuses sur une affaire de stock option douteux il y a quelques années, en 2013.

Une nouvelle équipe dirigeante

Il a fallu donc donner un nouveau dirigeant à la firme, pour satisfaire les actionnaires qui n’ont pas encore digéré les derniers épisodes. Il le fallait pour maintenir l’étroite collaboration franco-japonaise.

L’enquête interne déclenchée par l’affaire Carlos Ghosn

Les révélations qui ont déclenché une purge

Tout a commencé par des révélations faites au dernier trimestre 2018 par le responsable des affaires légales de la firme nippone de l’époque, Hari Nada. Avec Ghosn, tombe aussi son second Greg Kelly. Depuis, le nettoyage continue et l’enquête interne semble avoir encore des secrets à nous révéler.

Un chamboulement qui a fait des vagues au sein de la marque

Après les derniers rebondissements, une vague de cadres impliqués de près ou de loin a dû remballer les cartons. Un peu plus d’une dizaine, selon les sources. C’était nécessaire, tout d’abord pour regagner la confiance des investisseurs. Mais aussi c’était essentiel de faire un pas pour consolider vnd_foct 2019_Nissan logol’alliance avec Mitsubishi, dont le directeur des opérations a été choisi pour occuper la place de numéro deux. Son nom est Ashwani Gupta.

Le nouveau numéro un de Nissan

Makoto Uchida est désormais celui qui doit tenir les rênes. Il n’est pas totalement étranger à la marque, mais il est considéré comme assez éloigné des anciennes intrigues pour être digne de confiance. Il était jusque-là à la tête de la branche chinoise de la marque. Son second, que nous avons évoqué dans le paragraphe précédent, occupait également un poste dans l’alliance des trois marques.

Une Mini Hatch électrique
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On l’attend depuis un bon bout de temps. Cette citadine devenue emblématique outre-Manche devait se proposer en version entièrement électrique. Cette voiture qui cible aussi bien les hommes que les femmes devait passer le cap de l’électrisation, si elle voulait garder sa place auprès des concurrentes directes sur le marché européen, notamment la 208 ou la Clio V qui ont fait leur présentation en début d’année. La Mini Hatch électrique n’est pas encore passée dans notre garage, mais quelques infos ont fuité et nous allons vous en faire part dans les prochains paragraphes.

Autonomie et temps de recharge de cette nouvelle Mini Hatch

Même si on n’en est pas encore sûr à cent pour cent, les pronostics annoncent de fortes similitudes avec la motorisation électrique de la i3. Ce qui veut dire que la vocation urbaine n’écarterait pas une petite escapade de quelques centaines de kilomètres.vnd.fr_septembre 2019_22

Question temps de recharge, on devrait également profiter d’un chrono assez convaincant, vu que la technologie des batteries a bien évolué dans les voitures à 100 % électrique. Assez en tout cas, pour ne pas avoir choisi de continuer sur la lancée de la version hybride rechargeable du précédent SUV de la marque.

Puissance et motorisation de la Mini Hatch électrique

Appartenant à la firme allemande BMW depuis la fin des années 90, la petite Cooper de Mr Bean a bien grandi depuis. Et pas seulement en dimensions, car le moteur de 1300 centimètres cubes a aussi évolué avec le temps. Nous attendons actuellement avec la nouvelle Mini Hatch électrique quelque chose de moderne et de fiable. Un design épuré à l’allemande dans les lignes, accompagnée d’une allure soignée et élégante à la façon anglaise dans la finition.

Design extérieur et intérieur de la Mini Hatch électrique

La Mini Electric Concept présentée dans les salons depuis quelque temps s’annonçait assez futuriste dans la présentation : aérodynamisme prononcé, choix de matériaux dans les accessoires (jantes…), très compacte dans les dimensions, etc.

L’intérieur de la nouvelle Mini Hatch électrique n’est pas en reste en ce qui concerne l’esthétique. Bien entendu, on n’est pas dans le confort spacieux de la Countryman Cooper SE, mais tous les centimètres carrés disponibles ont été utilisé à bon escient.

Conclusion de ce que l’on peut attendre de la nouvelle Mini Hatch électrique

La Mini Hatch électrique est un concept très attendu par les fans de citadine qui veulent réduire leur émission de CO2 dans le sillage de leurs déplacements en ville. On s’attend donc à une autonomie moyenne, plutôt destinée à une circulation urbaine. Pour donner une fourchette, ce sera entre 300 et 500 kilomètres, difficilement plus. Mais on peut espérer une puissance motrice très vive pour avoir un peu de piment dans l’accélérateur.

La Peugeot 208 électrique : qu’est-ce qu’on en pense ?
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Certains chroniqueurs pensent que la Peugeot 208 électrique n’était pas encore assez prête à sortir. Mais qu’une réponse à la marque au losange qui sortait son cinquième volet de la Clio devait être formulée rapidement. En effet, ces deux citadines se disputent la même niche de clientèle. D’ailleurs en motorisation, on reconnaît des similitudes. Voyons d’un peu plus près cette 208 version électrique si elle vaut le détour.

L’esthétique de la 208 électrique

On remarque tout de suite la 208 électrique de loin. L’attitude qu’elle adopte sur la route est à l’image de son esthétique. Elle ressemble à une petite bombe, aux dimensions menues, mais avec un caractère très imposant. Aucun abus dans l’utilisation des lignes ergonomiques, car le surplus est gommé par des courbes élégamment distillées sur les ailes et le capot.

Si l’arrière est un peu classique, l’avant reçoit une modélisation très travaillée. Les éléments lumineux ont gagné en hauteur, grâce à une calandre qui a augmenté en dimensions par rapport à d’anciens modèles de la marque.

Dans l’habitacle de la 208 électrique

Ce qui est sûr, c’est que les concepteurs ont voulu redorer le blason de la marque française. En effet, l’intérieur des Allemandes présente toujours cette touche très soignée et riche en options. L’habitacle a donc été travaillé pour offrir aussi bien le confort que le côté fonctionnel.vnd.fr_septembre 2019_12

Avec un écran surdimensionné presque aligné au tableau de bord, accompagné de toutes les commandes dispersées sur la console, nous avons l’éclat de la modernité et un intérieur presque spacieux.

Des efforts encore à faire pour Peugeot

Son autonomie qui lui permet théoriquement de parcourir 340 kilomètres. Ce qui fait que la Peugeot 208 électrique n’est pas encore assez convaincante pour ceux qui veulent avaler plus de kilomètres avant de refaire le plein. Mais on peut se contenter des performances d’accélération. En effet, elle est capable d’atteindre les 100 kilomètres à l’heure en huit secondes et un dixième. Un atout important pour avoir de la relance sur les petites côtes montagneuses.

Verdict final pour la Peugeot 208 électrique

On est bien loin du design des années 2000, car la 208 électrique est avec une avant-garde massive, qui permet une calandre plus grande et élégante. Dans l’habitacle, l’ergonomie permet d’éviter une surcharge visuelle donnée par toute la panoplie d’une voiture moderne et pleine de boutons. C’est un véritable bijou produit d’une marque qui a confiance en elle. Elle compte sur la complicité avec son partenaire, pour bénéficier d’une plateforme commune avec la DS3 Crossback.