La nouvelle Renault Captur sous les feux des projecteurs
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La nouvelle Renault Captur est dérivée d’une grande citadine qui est un bestseller de la marque au losange. Son contenu technologique vaut bien le détour et elle respecte à la lettre le cahier des charges d’un vrai SUV moderne. Cela donne un intérieur particulièrement spacieux monté sur une plateforme avec un moteur à la fois performant et économique. Évidemment, nous allons vous décortiquer tout cela dans les prochains paragraphes.

La dérivée d’une citadine hors pair

C’est devenu comme une tradition chez les constructeurs français. Une citadine qui rencontre du succès doit avoir une dérivée en version SUV. VND.fr_nov 2019_1_New Renault Captur_1Ainsi, pour la marque au lion, la 2008 est une extension de la 208. En ce qui concerne la marque au losange, sur la nouvelle Renault Captur, on se rend compte tout de suite qu’on se trouve dans la lignée de la Clio V. Un pédigrée bien avantageux si on considère que c’est la voiture la plus vendue dans l’hexagone.

Comme sur la citadine, les phares avant en forme de C, entièrement composé de LED, assurent cette proue très avant-gardiste très bien travaillée.

Les caractéristiques d’un SUV moderne

La preuve qu’un SUV est moderne, c’est qu’il y a une version hybride rechargeable. À première vue, ce n’est pas très logique, mais il faut savoir que ce ne sont pas toutes les voitures qui peuvent passer à la transition électrique facilement.

La nouvelle Renault Captur possède les caractéristiques d’une voiture tout à fait moderne, dans l’assistance à la sécurité. Le freinage d’urgence en cas de piéton ou de cycliste, la régulation de la vitesse …

L’intérieur d’une nouvelle Renault Captur

VND.fr_nov 2019_1_New Renault Captur_2La longueur à l’extérieur est de 423 centimètres. Ce qui donne assez d’espace pour faire un intérieur tout à fait convenable pour 5 personnes. Plus si on a des enfants. C’est un petit gain par rapport à l’ancienne version qui mesurait seulement 412 centimètres, mais le coffre a pourtant bien augmenté de 81 décimètres cubes. Ainsi, la capacité maximale de la malle culmine à 536 litres, quand on rabat les sièges arrière.

En ce qui concerne le cockpit, on regrette un peu que l’écran digital s’arrête seulement à 9.3 pouces, alors que sur des modèles plus compacts on en est à 10. Et pourtant, le compteur du tableau de bord, digital comme la nouvelle norme, atteint le record de 10.2 pouces.

La nouvelle Renault Capture en résumé

Le contenu technologique de la nouvelle Renault Captur le qualifie de SUV totalement moderne. Il s’agit d’offrir l’habitabilité, tout en appuyant sur la modernité avec les équipements devenus indissociables à la voiture familiale moderne. Freinage d’urgence, détection des piétons …

Un regard sous le capot de la nouvelle Peugeot 2008
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On a senti depuis un moment chez la marque au lion que le moment est venu de rehausser la gamme de ses propositions. Si les Allemandes s’imposent dans les berlines, suivi de la marque au losange pour les citadines, autant se faire remarquer dans les SUV. Le 4008 a bien cartonné à sa sortie en raflant le titre prestigieux de voiture de l’année. La nouvelle Peugeot 2008 semble vouloir suivre le pas, en bousculant les préjugés et en ne rechignant pas sur la modernité.

Rouler à bord de la nouvelle Peugeot 2008

On peut dire que le Peugeot 2008 est ce qu’on appelle un SUV avec la sauce moderne. Tout est présent en ce qui concerne les différentes assistances à la conduite. De la détection de piéton et de cycliste qui active le freinage d’urgence, au système de motricité renforcée que l’on nomme Grip Control. Rouler devient un plaisir, dans une voiture qui fait quatre mètres et trente centimètres de long, avec un espace intérieur bien arrangé.

Un mixage entre la 208 et la 3008

Pour les formes, on est obligé de penser à une plus grande version de la citadine avec un zéro de moins dans le nom. En effet, on remarque immédiatement le capot cubique avec des bords arrondis et aérodynamiques de la 208. Quelques traits similaires sur les feux avant également. Par contre, sur les ailes, et l’arrière, on est bien dans la parenté avec la 3008.

L’intérieur soigné et épuré de la nouvelle Peugeot 2008

Le cockpit est savamment soigné. La marque au lion a bien compris qu’il ne suffisait pas d’offrir des conditions de conduites agréables. Dans le Peugeot 2008, on a tout l’équipement d’une voiture moderne dans la version en entrée de gamme. Compteur électronique, dalle numérique pour le contrôle de la clim et écran multimédia qui peut atteindre 10 pouces dans la gamme la plus élevée.

Les différentes motorisations de la nouvelle Peugeot 2008

La motorisation de la Peugeot 2008 a été faite pour offrir à la fois de la puissance et une utilisation économique. On choisit entre la boite manuelle à 6 vitesses et la boite auto à 8 vitesses. Que ce soit en 130 ou à 155 chevaux on utilise le moteur PureTech 1.2 qui a déjà fait ses preuves sur d’autresvnd_oct 2019_Peugeot 2008_2 plateformes. En diesel, nous avons le BlueHDi.

Conclusion

Le Peugeot 2008 est un véhicule que l’on peut classer dans la gamme des Crossovers urbains. Un véritable SUV, situé haut sur ses pattes et doté d’une motorisation adéquate pour ses dimensions. L’habitacle offre tout l’espace nécessaire pour la famille semi-nombreuse. Un moteur puissant et un aménagement intérieur correct, une formule qui risque d’en séduire plus d’un. Les équipements technologiques assistent merveilleusement à la conduite et au contrôle de la voiture.

La Golf 8 est arrivée
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Voiture du peuple dit on de Volkswagen. Tout semble confirmer ce dire car la marque n’a de cesse de chercher des moyens pour améliorer les voitures qu’elle propose à la vente pour les utilisateurs d’automobiles sur le marché. Et voilà, nous y sommes !

Genèse de la gamme Golf de Volkswagen

C’est une histoire d’amour vielle de 45 ans qui a lieu entre la firme de Wolfsburg et les automobilistes du monde entier. Quand il a fallu trouver un successeur digne de ce nom à la mythique Volks Coccinelle, la Golf a été désignée pour relever cette lourde charge. L’histoire nous confirme qu’elle a plutôt bien réussi. Car depuis, c’est dans plus de 108 pays que la Golf s’est vendue, avec (s’il vous plaît) près de 36 millions de voitures écoulées sur les 7 opus de la série. Oui, nous en conviendrons toutes et tous que ce n’est pas mal du tout.

Ancrage solide en Europe

Pour le cas du vieux continent seul, c’est le grand champion absolu. Toutes catégories confondues. La Golf a toujours été « the number one » des vnd.fr_Golf 8(1)ventes chaque année. A titre d’illustration, rien qu’en France seule, la Golf 7, les modèles berlines et en break se sont vendues à plus de 192000 d’automobilistes. Il ne faut pas minimiser le fait que le marché Européen constitue l’un des marchés les plus importants avec notamment, le marché Nord Américain avec les Etats Unis et Le Canada où les Golfs se vendent comme des petits pains aussi.

Se conformer aux exigences du marché

La grande nouveauté qui sera constatée avec les nouvelles Golf 8 est que les modèles en 3 portes cesseront à jamais d’exister. Les concepteurs de chez Volkswagen ont décidé d’emboiter le pas à ses principaux concurrents, et ont décidé de ne plus produire que des modèles en 5 portes. Citons entre autre le cas de la Peugeot 308, Renault Mégane, Ford Focus. Pour pallier à cela par contre, le MQB, déjà assez remarquable chez les Golf 7 sera développée encore plus en profondeur chez la nouvelle Golf 8.

Changer mais ne pas révolutionner

Les changements au niveau des contours des lignes ne verront pas de révolutions majeures. Cela s’effectuera en douceur. Propos confirmé d’ailleurs par le  chef du design chez Volkswagen, Klaus Bischoff. Selon lui, … des pas supplémentaires vont être apportés, sans toutefois tout révolutionner… La culture Golf sera donc jalousement conservée. L’automobiliste devra reconnaître rapidement et facilement qu’il s’agit bien d’une Golf une fois face à la voiture.

Motorisation de la golf 8

Une alternative 100% écolo n’est pas encore en vue avec la Golf 8. Il n’y aura donc pas d’e-golf 8. C’est une décision pas du tout surprenante à vrai vnd.fr_Golf 8(2)dire. Cette variante est laissée à la nouvelle gamme Volkswagen ID.

La Golf 8 sera proposée avec des motorisations essence et diesel. Il semblerait que les grosses motorisations en 2.0 litres seront laissées à l’abandon. Les différents moteurs qui vont équiper les Golfs 8 sont : 1.0 TSI de 116 ch et du 1.5 TSI de 130 et 150 ch pour les moteurs essence ; et le 1.5 TDI (en remplacement de la 1.6) (plus peut être le 2.0 TDI, qui semble t-il ne sera plus développé) pour les diesel.

Pour les amateurs de GTI, ils devront patienter un peu car ces modèles devront arriver fin 2020 avec la version R

Cockpit de la Golf 8 :

La Golf 8 est équipée de fonctions de conduite très élargies. La voiture est donc dotée de ce fait de plusieurs logiciels. Le cockpit se veut être très élaboré pour une meilleure expérience de conduite. Comme avec les nouvelles Mercedes Classe A, l’intérieur est équipé de deux écrans numériques. Mais pas que cela, si une partie de la forme de la carrosserie ressemblerait un peu à celui de sa cousine T-Roc, le Cockpit par contre est fortement  ressemblant à celui de son cousin, le  Touareg. Une histoire de famille donc en quelque sorte.

Les nouvelles têtes de Nissan
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Le feuilleton médiatique continue à faire des remous dans la presse automobile et économique. L’histoire a commencé fin 2018, avec des révélations tumultueuses sur le dirigeant de l’époque, Carlos Ghosn, ainsi que de son bras droit, qui sont accusés de malversations financières. En attendant le procès pour 2020, quelques rebondissements surviennent concernant la direction.

Les actualités de Nissan et sa santé interne

La présence commerciale sur le marché

Qu’on se rassure, ce n’est pas encore le déclin d’une marque qui a imprégné l’histoire de l’automobile avec des modèles compétitifs. D’ailleurs, on voit déjà pointer sur le marché cette nouvelle voiture avec une seule pédale.

La situation au sein de l’entreprise

Mais il fallait s’y attendre, la pression interne voulait faire un petit nettoyage pour faire oublier l’année qui vient de passer. Car il semble qu’il y a encore un peu d’eau dans le vin. Il a donc fallu apporter un sang nouveau, tout en puisant dans les racines de la marque.

Un soulagement pour l’alliance Renault-Nissan

Encore un dirigeant gourmand qui dégage

Actuellement, l’ancien numéro un nie encore tout en bloc et prépare sa défense pour son procès qui devrait avoir lieu en fin de premier trimestre 2020. Par contre, celui qui a pris sa place, Hiroto Saikawa, a déjà fait des excuses sur une affaire de stock option douteux il y a quelques années, en 2013.

Une nouvelle équipe dirigeante

Il a fallu donc donner un nouveau dirigeant à la firme, pour satisfaire les actionnaires qui n’ont pas encore digéré les derniers épisodes. Il le fallait pour maintenir l’étroite collaboration franco-japonaise.

L’enquête interne déclenchée par l’affaire Carlos Ghosn

Les révélations qui ont déclenché une purge

Tout a commencé par des révélations faites au dernier trimestre 2018 par le responsable des affaires légales de la firme nippone de l’époque, Hari Nada. Avec Ghosn, tombe aussi son second Greg Kelly. Depuis, le nettoyage continue et l’enquête interne semble avoir encore des secrets à nous révéler.

Un chamboulement qui a fait des vagues au sein de la marque

Après les derniers rebondissements, une vague de cadres impliqués de près ou de loin a dû remballer les cartons. Un peu plus d’une dizaine, selon les sources. C’était nécessaire, tout d’abord pour regagner la confiance des investisseurs. Mais aussi c’était essentiel de faire un pas pour consolider vnd_foct 2019_Nissan logol’alliance avec Mitsubishi, dont le directeur des opérations a été choisi pour occuper la place de numéro deux. Son nom est Ashwani Gupta.

Le nouveau numéro un de Nissan

Makoto Uchida est désormais celui qui doit tenir les rênes. Il n’est pas totalement étranger à la marque, mais il est considéré comme assez éloigné des anciennes intrigues pour être digne de confiance. Il était jusque-là à la tête de la branche chinoise de la marque. Son second, que nous avons évoqué dans le paragraphe précédent, occupait également un poste dans l’alliance des trois marques.

La Peugeot 208 électrique : qu’est-ce qu’on en pense ?
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Certains chroniqueurs pensent que la Peugeot 208 électrique n’était pas encore assez prête à sortir. Mais qu’une réponse à la marque au losange qui sortait son cinquième volet de la Clio devait être formulée rapidement. En effet, ces deux citadines se disputent la même niche de clientèle. D’ailleurs en motorisation, on reconnaît des similitudes. Voyons d’un peu plus près cette 208 version électrique si elle vaut le détour.

L’esthétique de la 208 électrique

On remarque tout de suite la 208 électrique de loin. L’attitude qu’elle adopte sur la route est à l’image de son esthétique. Elle ressemble à une petite bombe, aux dimensions menues, mais avec un caractère très imposant. Aucun abus dans l’utilisation des lignes ergonomiques, car le surplus est gommé par des courbes élégamment distillées sur les ailes et le capot.

Si l’arrière est un peu classique, l’avant reçoit une modélisation très travaillée. Les éléments lumineux ont gagné en hauteur, grâce à une calandre qui a augmenté en dimensions par rapport à d’anciens modèles de la marque.

Dans l’habitacle de la 208 électrique

Ce qui est sûr, c’est que les concepteurs ont voulu redorer le blason de la marque française. En effet, l’intérieur des Allemandes présente toujours cette touche très soignée et riche en options. L’habitacle a donc été travaillé pour offrir aussi bien le confort que le côté fonctionnel.vnd.fr_septembre 2019_12

Avec un écran surdimensionné presque aligné au tableau de bord, accompagné de toutes les commandes dispersées sur la console, nous avons l’éclat de la modernité et un intérieur presque spacieux.

Des efforts encore à faire pour Peugeot

Son autonomie qui lui permet théoriquement de parcourir 340 kilomètres. Ce qui fait que la Peugeot 208 électrique n’est pas encore assez convaincante pour ceux qui veulent avaler plus de kilomètres avant de refaire le plein. Mais on peut se contenter des performances d’accélération. En effet, elle est capable d’atteindre les 100 kilomètres à l’heure en huit secondes et un dixième. Un atout important pour avoir de la relance sur les petites côtes montagneuses.

Verdict final pour la Peugeot 208 électrique

On est bien loin du design des années 2000, car la 208 électrique est avec une avant-garde massive, qui permet une calandre plus grande et élégante. Dans l’habitacle, l’ergonomie permet d’éviter une surcharge visuelle donnée par toute la panoplie d’une voiture moderne et pleine de boutons. C’est un véritable bijou produit d’une marque qui a confiance en elle. Elle compte sur la complicité avec son partenaire, pour bénéficier d’une plateforme commune avec la DS3 Crossback.

Avez-vous déjà essayé la dernière-née des Clio ?
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C’est un des véhicules qui a marqué cette année 2019. Elle ne pouvait plus se cacher et devait offrir une contrattaque de la part de Renault sur le marché face à la 208. Peut-être aussi pour annoncer le ton et préparer le terrain pour la sortie du SUV Captur. Quoi qu’il en soit, elle est là depuis quelques mois et l’une d’entre elles est passée dans notre garage pendant une semaine. Voyons ce qu’elle nous a montré en quelques paragraphes.

L’aspect extérieur de la nouvelle génération de Clio

Ici, la marque n’a pas fait qu’épurer les anciennes lignes. Bien entendu, la troisième porte (ou la cinquième) est toujours reconnaissable entre tous. Mais les bordures du bouclier et la lunette ont assez évolué pour pouvoir dire que c’est bien une cinquième génération de la Clio qui arrive.vnd-clio 2019

Des changements notables également sur les phares, sans pour autant assurer l’exclusivité. Car on retrouve déjà ces formes de LED en C chez d’autres modèles comme l’Espace, entre autres. Pour les dimensions, on reste dans la moyenne, même si de tradition, on connait plutôt la voiture comme faisant partie des petits modèles.

L’aspect du design intérieur de la Clio 5

Aucune grosse surprise, sinon une impression de déjà-vu. Peut-être pour fidéliser les fans, mais un peu trop classique pour un cinquième volet d’une voiture qui a rencontré autant de succès (deuxième voiture la plus vendue en Europe, et première en France). Cependant, on ne peut que remarquer le grand écran tactile qui permet d’afficher le GPS, marquant qu’on est encore dans la modernité.

Ce que l’on trouve en dessous du capot de la Clio cinquième génération

Évidemment, elle en a dans le capot. Les trois cylindres en début de gamme permettent déjà une accélération assez insolente, avec une puissance de 65 ou 75 chevaux. Mais en haut de la gamme, on assure jusqu’à 130 chevaux avec un moteur de quatre cylindres si vous avez besoin de puissance. Pourtant, la consommation du moteur impressionne avec moins de cinq litres tous les cent kilomètres.

En résumé

Citadine, Légère, Impressionnante, Organisée. CLIO si on prend seulement les initiales. C’est en résumé ce que reflète cette nouvelle génération de la voiture la plus vendue de la marque au losange. Elle a été pensée pour rajouter de la modernité à une configuration qui a fait ses preuves. Pour l’esthétique, on se rapproche du style germanique. Tandis que sous le capot, on est sur une petite bombe qui s’aligne bien contre la concurrence.

Une Nippo-Américaine arrive en Europe : la Toyota Camry Hybrid
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Depuis que la branche américaine de Toyota a investi son nouveau siège social au Texas, il y a deux ans, on voit bien que la firme veut se relancer dans l’arène européenne. Une berline nommée Camry Hybrid est alors envoyée, tel un cheval de Troie qui contient toute une armée de technologie et de puissance dans son ventre. Cependant, les gladiateurs qui jouent à la maison ne sont pas là pour se tourner les pouces. Le véhicule tiendra-t-il la comparaison avec ses concurrents directs ?

L’empreinte de la modernité à l’américaine sur la Camry

Parler de gigantisme serait exagérer, mais on sait bien que les voitures des States sont très larges et très longues. Ici, la longueur atteint quatre mètres quatre-vingt-neuf. Et pourtant on remarque un certain minimalisme dans la déclinaison des lignes, avec des courbes arrondies et sur le capot juste ce qu’il faut pour ne pas avoir une surface plane et fade. Peut-être que le véhicule mise sur l’intérieur, car en ce qui concerne la calandre, les phares ou encore les jantes, on reste sur une présentation moyenne.

Les traces de la technologie japonaise sur cette Toyota

Sous le capot, on est bien servi par quelques 218 chevaux, donnés par un moteur hybride accouplé à une transmission CVT. Cela pervnd-toyota camry 2019met, une fois le mode sport activé, d’avoir une très bonne réponse de l’accélérateur. Ce n’est pas fait pour dominer sur les circuits, mais ça donne tout de même du punch pour un empattement aussi long.

Un intérieur travaillé pour le confort

Toute cette grandeur dans les dimensions a au moins servi à quelque chose. L’intérieur est très généreux, à l’image de cet écran d’affichage d’une dizaine de pouces. Entre le conducteur et son passager avant. Il y a assez de place pour y placer les différents boutons de contrôle pour la console multimédia et la clim. On nage bien dans cet espace ergonomique sans fioriture. Sincèrement, on est loin de s’ennuyer, avec des sièges qui peuvent être réglés en inclinaison avec un bouton électrique.

En résumé

Une note parfaite sous le capot, c’est-à-dire de la puissance à revendre, si on considère que c’est un véhicule à vocation urbaine ou routière. Mais esthétiquement, elle est assez imposante, voire envahissante, avec une longueur qui dépasse celle de certains SUV compacts. Cette proposition de motorisation hybride semble au premier abord être un atout, mais le choix reste mitigé si on regarde les promesses sur le territoire qui seraient plus abordable. Cette voiture est résolument américaine, du moins elle s’est fait une place parmi les grands.

Changement de dirigeant chez BMW

Il y a du changement dans l’air chez la firme Munichoise. En effet, c’est l’ère du changement qui y règne. Changement certes au niveau de la forme, mais pour ce qui est du fond, c’est-à-dire de la recherche perpétuelle d’excellence. Cela reste la même et demeure comme étant la principale motivation.

Le départ annoncé de Harald Krüger

Il a pris les règnes le 13 mai 2015 après avoir succédé Norbert Reithofer. Il a obtenu son diplôme d’Ingénieur en génie mécanique en 1991 auprès du très renommé Université technique de Rhénanie Westphalie. Il a fait partie de la famille BMW depuis le début de sa carrière en 1992 en tant que bmw-1-vndstagiaire. Aussitôt son diplôme en poche, il a décroché un poste relativement stable en tant que assistant de recherche à l’institut dynamique des systèmes de vol du centre allemand de l’aéronautique et de l’astronautique. Un poste qu’il occupa en 1991 et 1992. Courant 1992, il a eu l’audace de laisser cet emploi pour un poste de stagiaire auprès de la maison BMW. Un risque calculé en quelque sorte. Un risque qui a bien porté ses fruits car il a gravi tous les échelons pour arriver jusqu’au sommet de la hiérarchie.

La continuité au service des consommateurs

Il semble qu’on lui aurait reproché de ne pas avoir trop mis l’accent sur le segment tant convoité des voitures électriques. C’est donc ce que l’on attend clairement du nouveau CEO, en la personne d’Oliver Zipse. Et l’ambition de BMW est sans équivoque sur ce point. La firme de Munich ambitionne d’être le leader parmi les constructeurs premium. Aussi, comme précédemment mentionné, il aura également la lourde tâche de positionner la marque BMW sur le marché des voitures électriques.

Mais qui est Oliver Zipse

Il est de coutume chez BMW  de mettre tout en haut de la hiérarchie une personne qui émane de sa fabrication. Les actionnaires de la marque BMW souhaiteraient voir évoluer rapidement la position des voitures BMW électriques. Il est âgé de 55 ans en ce moment. Il a occupé dernièrement le poste de Directeur de la production avant cette nouvelle nomination qui sera effective à compter du 16 aout 2019. Il est passé par l’université d’Utah avant de revenir en Allemagne auprès du Technische Universität Darmstadt où il a obtenu son diplôme d’ingéniorat en 1991.

Toute l’équipe de vnd lui souhaite beaucoup de réussite avec sa nouvelle fonction. Pour rappel, nous pouvons vous proposer la gamme BMW. Des voitures neuves, à des prix plus que compétitifs. Vous pouvez également contacter notre service clientèle pour vous apporter davantage d’informations et éclaircir les points qui vous semblent confus.

La fusion Renault fiat Chrysler : qui en sortira gagnant ?
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Une fusion est toujours sujette à des discussions interminables avant de se concrétiser. C’est une alliance commerciale qui doit être gagnante pour les deux parties. Souvent, l’un des protagonistes a besoin d’une bouffée d’oxygène pour ne pas sombrer, tandis que l’autre est une firme en pleine puissance qui veut affirmer sa main mise sur le marché. Parfois, c’est aussi une stratégie de développement convenue entre deux petites entités pour pouvoir se hisser à la même hauteur que de grands groupes du secteur. Dans le cas de Renault et Fiat-Chrysler, la donne est un peu étrange, car on parle déjà de deux grands noms du milieu de l’automobile. On pourrait dire que les difficultés de l’un sont des avantages dans l’autre. Mais la synergie risque de ne pas fonctionner en symbiose, surtout quand on regarde les atouts et les défauts de chacun. Les types de marchés sont différents, tout comme la philosophie adoptée, ainsi que les axes de recherche et d’innovation.

Une fusion pour l’électrique

Ingénieurs, concepteurs, designer, techniciens, commerciaux … les marques de voitures vont mettre tous les moyens nécessaires pour que l’aventure vnd_fusion renault_fiat_chrysler_1de la voiture électrique puisse continuer sa route. On appuie notamment l’accélérateur sur les véhicules connectés, pour pouvoir jouer dans la cour du futur. L’élimination progressive du diesel sur le marché européen commence à se préciser chez les constructeurs qui dominent sur le vieux continent. L’engouement vers une voiture propre énergétiquement parlant n’est plus une promesse dans le vent. Les autorités tiennent compte de la technologie qu’ils vont soutenir, pour accorder des financements aux entreprises concernées. Sans doute pour améliorer leur image, mais aussi pour soutenir un semblant de développement durable et responsable. C’est là que ce serait un avantage pour Fiat Chrysler Automobile de faire l’alliance. Renault remplit bien son contrat en ce qui concerne l’électrique. Le balbutiement de la Zoé dans le marché concerné présente des bons points qu’il ne faut pas négliger chez la marque au losange. Le ralliement serait positif pour la firme italo-américaine qui semble un peu sur le banc de la touche dans le domaine de l’E-car.

Une alliance qui a du bon pour les deux

La vie de l’homme moderne est passée au mode « smart », avec le téléphone d’abord, pilier fondamental de cette nouvelle ère de la technologie. Mais la chose la plus étonnante, c’est que tout notre environnement est maintenant imprégné de cette intelligence artificielle. À la maison, au travail, dans vnd_fusion renault_fiat_chrysler_2la rue… sauf pour la voiture qui semble un peu en retard, et tous les regards se tournent vers elle. Sa place dans le futur est encore indispensable, au niveau des moyens de transport de logistique et des déplacements des masses. Comme dans l’habitat et les moyens de communication, les algorithmes permettront à l’homme de ne plus se casser la tête sur son trajet le plus court, la climatisation, la régulation de la vitesse … Une alliance de Renault avec FCA (Fiat Chrysler Automobile) aurait un impact très poignant pour une avancée technologique notable. Quand on sait que le groupe italo-américain fournit à Google ses véhicules d’essai, et que le groupe français possède une bonne expérience électronique, la fusion de ces deux énergumènes devrait donner du bon.

Une relation de concrétisation

Le moment de gloire des voitures électriques est venu, couplé avec l’avènement des véhicules autonomes. Les bolides qui déchirent les limites de la vitesse et bousculent la tradition esthétique, c’est presque de l’histoire ancienne. Ça bouffe de l’énergie et c’est considéré comme un gaspillage ostentatoire de ressources. Si on n’est plus un puriste chevronné, on ne dépense plus autant d’argent pour quelque chose qui prime la performance dans des trucs délirants et dangereux. Ce qui définit les critères de sélection de la voiture moderne, c’est d’abord la sécurité. Chacun son truc, pour donner au conducteur une assistance maximale pendant la conduite : le freinage automatique en cas d’obstacle soudain, un guide numérisé pour se garer. L’équipement de pointe n’est plus dans l’amortisseur en version sport, qui rabaisse le véhicule et le rend plus rigide, c’est dans les capteurs et caméras qui sont connectés à l’ordinateur de bord. Des outils de navigations qui tendent vers la voiture vnd_fusion renault_fiat_chrysler_3qui se dirige toute seule, transformant le conducteur en simple voyageur en totale confiance. Renault et son expérience sur le marché européen peuvent apporter un nouveau souffle à Fiat Chrysler qui a souvent eu du mal à concrétiser ses prévisions ces cinq dernières années. Mais feront-elles le poids face à aux Allemandes ?

Une alliance pour l’innovation

Aujourd’hui tout le monde veut faire partie de cette chaîne du développement durable. Les gens sont de plus en plus conscients de la nécessité d’utiliser des produits facilement réparables, qui n’ont pas de signature énergétique importante. Les réparateurs et les techniciens sont une mine d’informations que l’on peut utiliser de manière globale. L’internet a rudement facilité les choses, on peut rechercher les pièces détachées et les garages réparateurs sur la toile pour s’aider. Le dilemme pour les constructeurs c’est qu’il faut satisfaire les clients avec des produits qui sont facilement réparables pour une durée de vie presque illimitée, mais aussi d’en séduire de nouveaux pour acheter les modèles de dernier cri. En ce qui concerne Fiat-Chrysler, les voitures qui sont en projets sont magnifiques, du moins pour le marché américain et italien, même s’ils ont besoin d’être peaufinés pour pouvoir séduire la partie française et asiatique. C’est le cas par exemple de la Maserati et des nouveaux modèles de (Grand) Cherokee, ainsi que le dernier bébé de Jeep, entre autres. Ces véhicules totalement performants et ayant prouvé leur qualité outre Atlantique ne représentent qu’un marché de niche sur le territoire de la marque française. Cette dernière pourrait être d’une aide notoire pour permettre une expansion plus prononcée de son partenaire. D’un autre côté, Renault pourrait avoir des avantages en fournissant les moteurs électriques qui pourraient séduire le marché américain. La fusion des deux groupes peut fonctionner de manière positive dans les deux sens, si l’alliance passe par un partage de connaissances, pour s’orienter vers les nouveaux objectifs de recherches et d’innovation du troisième millénaire.

La Dernière 911, une évolution qui respecte la tradition
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La première voiture de sport de Porsche est une 356. Dès la fin des années 50, il a fallu une héritière, pour se mettre au niveau de la concurrence. En 1963 est présentée la 901. Mais Peugeot, lors du Salon de l’auto de Paris de la même année, fait savoir que les numéros à trois chiffres avec un 0 au milieu, c’est déjà une marque déposée. Ainsi, on décide de mettre un 1 au milieu. C’est ainsi que la saga 911 est née. Aujourd’hui, le modèle le plus récent est dans cette progression vers le futur qui ne renie en aucun cas son passé. Comment le fabricant a-t-il su concilier cette ambiguïté dans la conception ? Quelles ont été les contraintes subies par les ingénieurs pour produire une voiture qui plait à son public et qui peut faire face à la concurrence ?

Un nouveau modèle et des défis à surmonter

Une nouvelle 911 est donc toujours un défi pour la marque. Car elle doit avoir ce look intemporel qui rend la voiture reconnaissable malgré son évolution au fil du temps. Au cours de l’histoire, il n’y a que 7 modèles de 911, alors que la voiture est née en 1963. C’est une voiture à la fois sexy et sacrée. Les puristes sont intransigeants sur les lignes et le comportement de la voiture. La difficulté est donc de pouvoir apporter assez de changement pour justifier l’apparition d’un nouveau modèle, tout en restant dans les classiques. Intégrer du matériel de pointe en termes de technologie et d’équipement et conserver l’esprit qui a fait l’histoire de cette voiture. Il a fallu respecter l’héritage tout en intégrant les éléments d’une voiture moderne. En quelque sorte, c’est comme s’il faut évoluer sans toucher à la structure conceptuelle des premiers temps.

Une puissance phénoménale et un style de conduite unique

Et pourtant, il faut savoir que les chiffres indiquent que la 911 n’est pas le meilleur véhicule à la vente de la marque. Mais c’est certainement le plus beau, le plus perfectionné, et le plus représentatif, le plus vu et le plus célèbre. Le modèle qui a le plus de superlatifs au sein de la maison. La nouvelle 911 n’est donc pas une affaire d’argent. Elle est faite pour les puristes, les vrais fans, ceux qui veulent une voiture historique modernisée jusqu’au bout des jantes. On la reconnaît d’un simple coup d’œil avec ses courbes arrondies. Son arrière-train au design particulier cache le traditionnel moteur 6 cylindres à plat. Celui-ci a été remodelé pour être plus léger tout en gagnant en puissance. Il faut 16 robots perfectionnés et guidés par ordinateur pour construire cette merveille qui développe 400 chevaux.

La conception et les attentes du public

En tant que version renouvelée de la plus emblématique des voitures de sport. Cela a pris du temps, il a fallu de l’investissement et car-1300629_1280 (1)on a dû faire appel à l’ingéniosité des concepteurs. En effet, pour passer des esquisses au design final de la voiture, il a fallu un laps de temps de quatre longues années. Donc pendant que certains travaillent sur les dessins, d’autres conçoivent déjà les moteurs. Il a même fallu concevoir de nouvelles machines pour la peinture.  La 911 est une voiture qui obéit à certains codes de conduite qui ne doivent en aucun cas changer. L’expérience a enseigné que les « consommateurs » de 911 sont très à cheval sur les traditions, des conservateurs de la pire espèce. Ils sont sans pitié et risque de bouder le modèle s’il ne répond pas à un cahier de charge précis qui inclut bien les formes classiques et un comportement unique sur l’asphalte.

Les fans et les changements sur la 911

Comment remettre au gout du jour une voiture si classique ? Il y a beaucoup de risque, les habitués sont très attachés aux lignes caractéristiques. Le moteur est placé derrière l’essieu arrière, cette propriété met les conducteurs peu expérimentés en difficultés dans les virages à grande vitesse. En effet vehicle-4036203_1280cela fait partir l’arrière de la voiture en vrille si on ne fait pas attention. Un style de conduite qui est unique en quelque sorte. Et pourtant, les fans de la marque refusent catégoriquement tout changement drastique, que ce soit dans l’esthétique ou l’ingénierie conceptuelle. En effet, quand on sait maîtriser le bolide, c’est un tel plaisir de glisser avec grâce comme un patineur sur la glace. Cet indispensable petit contre appel sur le volant et l’accélération en fin de course pour reprendre de la vitesse, une suite de geste qui est bien connu des conducteurs de porche.

Les modifications qui restent invisibles

Le plus grand changement concerne le châssis. Un des éléments vitaux dans une voiture de sport, car il assure le temps de réponse à l’accélération. Un véhicule avec un châssis léger est plus rapide et agile. Ce qui est mieux accueilli par les puristes, car la différence est invisible. Il y a aussi le contrôle dynamique de cette pièce qui a été introduite, dérivée de la technologie SUV. Cela permet de limiter le roulis, améliorer la traction et ainsi gagner des secondes très précieuses sur le chrono. La Porche a toujours été une voiture rapide. Il faut qu’elle le reste. Et quand les autres marques sortent des modèles modernes et améliorés, elles sont plus performantes. Pour se mettre à niveau, il faut des améliorations dans le moteur et dans le comportement sur la route. Non seulement pour les performances, mais aussi pour la sécurité des passagers.

Une évolution interne chez Porsche

La nouvelle 911 est un assemblage d’acier, d’aluminium et de matières premières très modernes. Des opérations de collages sont effectuées à divers points du véhicule, car souder deux métaux différents est encore impossible pour le moment, du moins pour assurer une sécurité maximale. Cela impose l’utilisation de nouvelles machines, qui assurent un travail précis et sans faille. De nouvelles installations ont été nécessaires, pour les ateliers de montage du moteur, la salle de peinture et l’assemblage final de la carrosserie et des composants d’intérieur. Pour économiser de la surface au sol sur l’occupation de l’usine, on a eu recours à la construction en hauteur. Ce qui est assez peu commun dans l’industrie de l’automobile, qui privilégie un peu plus les conceptions « à plat » sur de grandes surfaces. Si les changements visuels semblent peu visibles par les néophytes, la conception de la nouvelle 911 a été une véritable transformation à l’intérieur même des usines de la marque.