La nouvelle Renault Captur sous les feux des projecteurs
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La nouvelle Renault Captur est dérivée d’une grande citadine qui est un bestseller de la marque au losange. Son contenu technologique vaut bien le détour et elle respecte à la lettre le cahier des charges d’un vrai SUV moderne. Cela donne un intérieur particulièrement spacieux monté sur une plateforme avec un moteur à la fois performant et économique. Évidemment, nous allons vous décortiquer tout cela dans les prochains paragraphes.

La dérivée d’une citadine hors pair

C’est devenu comme une tradition chez les constructeurs français. Une citadine qui rencontre du succès doit avoir une dérivée en version SUV. VND.fr_nov 2019_1_New Renault Captur_1Ainsi, pour la marque au lion, la 2008 est une extension de la 208. En ce qui concerne la marque au losange, sur la nouvelle Renault Captur, on se rend compte tout de suite qu’on se trouve dans la lignée de la Clio V. Un pédigrée bien avantageux si on considère que c’est la voiture la plus vendue dans l’hexagone.

Comme sur la citadine, les phares avant en forme de C, entièrement composé de LED, assurent cette proue très avant-gardiste très bien travaillée.

Les caractéristiques d’un SUV moderne

La preuve qu’un SUV est moderne, c’est qu’il y a une version hybride rechargeable. À première vue, ce n’est pas très logique, mais il faut savoir que ce ne sont pas toutes les voitures qui peuvent passer à la transition électrique facilement.

La nouvelle Renault Captur possède les caractéristiques d’une voiture tout à fait moderne, dans l’assistance à la sécurité. Le freinage d’urgence en cas de piéton ou de cycliste, la régulation de la vitesse …

L’intérieur d’une nouvelle Renault Captur

VND.fr_nov 2019_1_New Renault Captur_2La longueur à l’extérieur est de 423 centimètres. Ce qui donne assez d’espace pour faire un intérieur tout à fait convenable pour 5 personnes. Plus si on a des enfants. C’est un petit gain par rapport à l’ancienne version qui mesurait seulement 412 centimètres, mais le coffre a pourtant bien augmenté de 81 décimètres cubes. Ainsi, la capacité maximale de la malle culmine à 536 litres, quand on rabat les sièges arrière.

En ce qui concerne le cockpit, on regrette un peu que l’écran digital s’arrête seulement à 9.3 pouces, alors que sur des modèles plus compacts on en est à 10. Et pourtant, le compteur du tableau de bord, digital comme la nouvelle norme, atteint le record de 10.2 pouces.

La nouvelle Renault Capture en résumé

Le contenu technologique de la nouvelle Renault Captur le qualifie de SUV totalement moderne. Il s’agit d’offrir l’habitabilité, tout en appuyant sur la modernité avec les équipements devenus indissociables à la voiture familiale moderne. Freinage d’urgence, détection des piétons …

Les nouvelles têtes de Nissan
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Le feuilleton médiatique continue à faire des remous dans la presse automobile et économique. L’histoire a commencé fin 2018, avec des révélations tumultueuses sur le dirigeant de l’époque, Carlos Ghosn, ainsi que de son bras droit, qui sont accusés de malversations financières. En attendant le procès pour 2020, quelques rebondissements surviennent concernant la direction.

Les actualités de Nissan et sa santé interne

La présence commerciale sur le marché

Qu’on se rassure, ce n’est pas encore le déclin d’une marque qui a imprégné l’histoire de l’automobile avec des modèles compétitifs. D’ailleurs, on voit déjà pointer sur le marché cette nouvelle voiture avec une seule pédale.

La situation au sein de l’entreprise

Mais il fallait s’y attendre, la pression interne voulait faire un petit nettoyage pour faire oublier l’année qui vient de passer. Car il semble qu’il y a encore un peu d’eau dans le vin. Il a donc fallu apporter un sang nouveau, tout en puisant dans les racines de la marque.

Un soulagement pour l’alliance Renault-Nissan

Encore un dirigeant gourmand qui dégage

Actuellement, l’ancien numéro un nie encore tout en bloc et prépare sa défense pour son procès qui devrait avoir lieu en fin de premier trimestre 2020. Par contre, celui qui a pris sa place, Hiroto Saikawa, a déjà fait des excuses sur une affaire de stock option douteux il y a quelques années, en 2013.

Une nouvelle équipe dirigeante

Il a fallu donc donner un nouveau dirigeant à la firme, pour satisfaire les actionnaires qui n’ont pas encore digéré les derniers épisodes. Il le fallait pour maintenir l’étroite collaboration franco-japonaise.

L’enquête interne déclenchée par l’affaire Carlos Ghosn

Les révélations qui ont déclenché une purge

Tout a commencé par des révélations faites au dernier trimestre 2018 par le responsable des affaires légales de la firme nippone de l’époque, Hari Nada. Avec Ghosn, tombe aussi son second Greg Kelly. Depuis, le nettoyage continue et l’enquête interne semble avoir encore des secrets à nous révéler.

Un chamboulement qui a fait des vagues au sein de la marque

Après les derniers rebondissements, une vague de cadres impliqués de près ou de loin a dû remballer les cartons. Un peu plus d’une dizaine, selon les sources. C’était nécessaire, tout d’abord pour regagner la confiance des investisseurs. Mais aussi c’était essentiel de faire un pas pour consolider vnd_foct 2019_Nissan logol’alliance avec Mitsubishi, dont le directeur des opérations a été choisi pour occuper la place de numéro deux. Son nom est Ashwani Gupta.

Le nouveau numéro un de Nissan

Makoto Uchida est désormais celui qui doit tenir les rênes. Il n’est pas totalement étranger à la marque, mais il est considéré comme assez éloigné des anciennes intrigues pour être digne de confiance. Il était jusque-là à la tête de la branche chinoise de la marque. Son second, que nous avons évoqué dans le paragraphe précédent, occupait également un poste dans l’alliance des trois marques.

Avez-vous déjà essayé la dernière-née des Clio ?
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C’est un des véhicules qui a marqué cette année 2019. Elle ne pouvait plus se cacher et devait offrir une contrattaque de la part de Renault sur le marché face à la 208. Peut-être aussi pour annoncer le ton et préparer le terrain pour la sortie du SUV Captur. Quoi qu’il en soit, elle est là depuis quelques mois et l’une d’entre elles est passée dans notre garage pendant une semaine. Voyons ce qu’elle nous a montré en quelques paragraphes.

L’aspect extérieur de la nouvelle génération de Clio

Ici, la marque n’a pas fait qu’épurer les anciennes lignes. Bien entendu, la troisième porte (ou la cinquième) est toujours reconnaissable entre tous. Mais les bordures du bouclier et la lunette ont assez évolué pour pouvoir dire que c’est bien une cinquième génération de la Clio qui arrive.vnd-clio 2019

Des changements notables également sur les phares, sans pour autant assurer l’exclusivité. Car on retrouve déjà ces formes de LED en C chez d’autres modèles comme l’Espace, entre autres. Pour les dimensions, on reste dans la moyenne, même si de tradition, on connait plutôt la voiture comme faisant partie des petits modèles.

L’aspect du design intérieur de la Clio 5

Aucune grosse surprise, sinon une impression de déjà-vu. Peut-être pour fidéliser les fans, mais un peu trop classique pour un cinquième volet d’une voiture qui a rencontré autant de succès (deuxième voiture la plus vendue en Europe, et première en France). Cependant, on ne peut que remarquer le grand écran tactile qui permet d’afficher le GPS, marquant qu’on est encore dans la modernité.

Ce que l’on trouve en dessous du capot de la Clio cinquième génération

Évidemment, elle en a dans le capot. Les trois cylindres en début de gamme permettent déjà une accélération assez insolente, avec une puissance de 65 ou 75 chevaux. Mais en haut de la gamme, on assure jusqu’à 130 chevaux avec un moteur de quatre cylindres si vous avez besoin de puissance. Pourtant, la consommation du moteur impressionne avec moins de cinq litres tous les cent kilomètres.

En résumé

Citadine, Légère, Impressionnante, Organisée. CLIO si on prend seulement les initiales. C’est en résumé ce que reflète cette nouvelle génération de la voiture la plus vendue de la marque au losange. Elle a été pensée pour rajouter de la modernité à une configuration qui a fait ses preuves. Pour l’esthétique, on se rapproche du style germanique. Tandis que sous le capot, on est sur une petite bombe qui s’aligne bien contre la concurrence.

La fusion Renault fiat Chrysler : qui en sortira gagnant ?
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Une fusion est toujours sujette à des discussions interminables avant de se concrétiser. C’est une alliance commerciale qui doit être gagnante pour les deux parties. Souvent, l’un des protagonistes a besoin d’une bouffée d’oxygène pour ne pas sombrer, tandis que l’autre est une firme en pleine puissance qui veut affirmer sa main mise sur le marché. Parfois, c’est aussi une stratégie de développement convenue entre deux petites entités pour pouvoir se hisser à la même hauteur que de grands groupes du secteur. Dans le cas de Renault et Fiat-Chrysler, la donne est un peu étrange, car on parle déjà de deux grands noms du milieu de l’automobile. On pourrait dire que les difficultés de l’un sont des avantages dans l’autre. Mais la synergie risque de ne pas fonctionner en symbiose, surtout quand on regarde les atouts et les défauts de chacun. Les types de marchés sont différents, tout comme la philosophie adoptée, ainsi que les axes de recherche et d’innovation.

Une fusion pour l’électrique

Ingénieurs, concepteurs, designer, techniciens, commerciaux … les marques de voitures vont mettre tous les moyens nécessaires pour que l’aventure vnd_fusion renault_fiat_chrysler_1de la voiture électrique puisse continuer sa route. On appuie notamment l’accélérateur sur les véhicules connectés, pour pouvoir jouer dans la cour du futur. L’élimination progressive du diesel sur le marché européen commence à se préciser chez les constructeurs qui dominent sur le vieux continent. L’engouement vers une voiture propre énergétiquement parlant n’est plus une promesse dans le vent. Les autorités tiennent compte de la technologie qu’ils vont soutenir, pour accorder des financements aux entreprises concernées. Sans doute pour améliorer leur image, mais aussi pour soutenir un semblant de développement durable et responsable. C’est là que ce serait un avantage pour Fiat Chrysler Automobile de faire l’alliance. Renault remplit bien son contrat en ce qui concerne l’électrique. Le balbutiement de la Zoé dans le marché concerné présente des bons points qu’il ne faut pas négliger chez la marque au losange. Le ralliement serait positif pour la firme italo-américaine qui semble un peu sur le banc de la touche dans le domaine de l’E-car.

Une alliance qui a du bon pour les deux

La vie de l’homme moderne est passée au mode « smart », avec le téléphone d’abord, pilier fondamental de cette nouvelle ère de la technologie. Mais la chose la plus étonnante, c’est que tout notre environnement est maintenant imprégné de cette intelligence artificielle. À la maison, au travail, dans vnd_fusion renault_fiat_chrysler_2la rue… sauf pour la voiture qui semble un peu en retard, et tous les regards se tournent vers elle. Sa place dans le futur est encore indispensable, au niveau des moyens de transport de logistique et des déplacements des masses. Comme dans l’habitat et les moyens de communication, les algorithmes permettront à l’homme de ne plus se casser la tête sur son trajet le plus court, la climatisation, la régulation de la vitesse … Une alliance de Renault avec FCA (Fiat Chrysler Automobile) aurait un impact très poignant pour une avancée technologique notable. Quand on sait que le groupe italo-américain fournit à Google ses véhicules d’essai, et que le groupe français possède une bonne expérience électronique, la fusion de ces deux énergumènes devrait donner du bon.

Une relation de concrétisation

Le moment de gloire des voitures électriques est venu, couplé avec l’avènement des véhicules autonomes. Les bolides qui déchirent les limites de la vitesse et bousculent la tradition esthétique, c’est presque de l’histoire ancienne. Ça bouffe de l’énergie et c’est considéré comme un gaspillage ostentatoire de ressources. Si on n’est plus un puriste chevronné, on ne dépense plus autant d’argent pour quelque chose qui prime la performance dans des trucs délirants et dangereux. Ce qui définit les critères de sélection de la voiture moderne, c’est d’abord la sécurité. Chacun son truc, pour donner au conducteur une assistance maximale pendant la conduite : le freinage automatique en cas d’obstacle soudain, un guide numérisé pour se garer. L’équipement de pointe n’est plus dans l’amortisseur en version sport, qui rabaisse le véhicule et le rend plus rigide, c’est dans les capteurs et caméras qui sont connectés à l’ordinateur de bord. Des outils de navigations qui tendent vers la voiture vnd_fusion renault_fiat_chrysler_3qui se dirige toute seule, transformant le conducteur en simple voyageur en totale confiance. Renault et son expérience sur le marché européen peuvent apporter un nouveau souffle à Fiat Chrysler qui a souvent eu du mal à concrétiser ses prévisions ces cinq dernières années. Mais feront-elles le poids face à aux Allemandes ?

Une alliance pour l’innovation

Aujourd’hui tout le monde veut faire partie de cette chaîne du développement durable. Les gens sont de plus en plus conscients de la nécessité d’utiliser des produits facilement réparables, qui n’ont pas de signature énergétique importante. Les réparateurs et les techniciens sont une mine d’informations que l’on peut utiliser de manière globale. L’internet a rudement facilité les choses, on peut rechercher les pièces détachées et les garages réparateurs sur la toile pour s’aider. Le dilemme pour les constructeurs c’est qu’il faut satisfaire les clients avec des produits qui sont facilement réparables pour une durée de vie presque illimitée, mais aussi d’en séduire de nouveaux pour acheter les modèles de dernier cri. En ce qui concerne Fiat-Chrysler, les voitures qui sont en projets sont magnifiques, du moins pour le marché américain et italien, même s’ils ont besoin d’être peaufinés pour pouvoir séduire la partie française et asiatique. C’est le cas par exemple de la Maserati et des nouveaux modèles de (Grand) Cherokee, ainsi que le dernier bébé de Jeep, entre autres. Ces véhicules totalement performants et ayant prouvé leur qualité outre Atlantique ne représentent qu’un marché de niche sur le territoire de la marque française. Cette dernière pourrait être d’une aide notoire pour permettre une expansion plus prononcée de son partenaire. D’un autre côté, Renault pourrait avoir des avantages en fournissant les moteurs électriques qui pourraient séduire le marché américain. La fusion des deux groupes peut fonctionner de manière positive dans les deux sens, si l’alliance passe par un partage de connaissances, pour s’orienter vers les nouveaux objectifs de recherches et d’innovation du troisième millénaire.